Exporter des produits biologiques au Danemark


Exporter des produits issus de filières biologiques au Danemark

PAr denan,
Exporter des produits biologiques au Danemark : exemples d'exportaion de fruits exotiques, fruits secs, et à coque, super-fruits Bio.

Les filières de 20 ans d’une PME française de fruits exotiques sont plébiscitées

Certes l’aliment local est souhaitable en terme d’empreinte carbonée; mais n’est pas disponible pour tous les fruits Bio- commerce équitable.

D’où la richesse que représentent des filières de fruits exotiques, fruits secs, et à coque, super-fruits pour un distributeur Bio.

Et la difficulté pour lui de trouver un partenaire fiable

Le challenge offrir une triple garantie qualitative : sanitaire, gustative et pérenne.

Peu nombreux sont les fournisseurs à offrir ces garanties.

Et à les avoir garanties depuis fort longtemps.

Ces garanties ont un prix qu’il s’agit de faire accepter

Toute la difficulté de la négociation à l’exportation est de valoriser, au sens propre, la valeur de telles filières d’approvisionnement.

En un mot vendre de la valeur et non pas seulement une unité de besoin dont la seule vertu serait le prix le plus bas.

Qu’est-ce que la valeur ?

Que mettent en avant nos clients, les magasins spécialisés bio et les distributeurs bio et que recherchent les consommateurs bio au- jourd’hui ?

Au-delà d’aliments ; des produits militants actifs, des « valeurs extérieures », des externalités telles que l’écologique, le durable, la transparence, la santé, l’abstinence énergétique et de l’emballage, etc.

La valeur est à l’opposé de la standardisation facile qui ne mise que sur le prix le plus bas possible, jusqu’à vampiriser complètement un produit.

Une stratégie basée sur le seul prix bas est une impasse, pour tous.

Les produits à forte valeur sont complexes à concevoir, mais celle-ci devient un obstacle à l’entrée du marché pour les concurrents.

Exporter la valeur, la force de nos PME alimentaires bio à l’export

C’est justement le cœur du savoir-faire traditionnel des PME bio francaises.

Elles trouveront toujours une clientèle à l’export dont le consentement à payer comblera le « gap » qui est prix de la valeur.